Sur les traces des grands noms de la géobiologie, au travers de l’histoire, je vous propose de découvrir les travaux scientifiques annonciateurs de la géobiologie contemporaine. Commençons par le début !
Je m’intéresse ici au début de l’histoire moderne de la Géobiologie reconnue partiellement comme discipline scientifique seulement du fait des scientifiques qui l’ont fait renaître sur le papier au travers de leurs travaux de recherche. La liste de ces scientifiques est longue et on peut dire transversale ou interdisciplinaire. En effet, on trouve des observations liées à la Géobiologie dans la géologie, la géochimie, la minéralogie, la climatologie, la microbiologie, la physiologie, la biologie, la paléontologie. Cette liste n’étant pas exhaustive.
Vous trouverez sur le net de nombreux articles de confrères qui comme moi relatent les débuts de cette discipline scientifique encore trop marginale. Il y a parmi les géobiologues des personnes de tous horizons culturels, professionnels et donc de diverse sensibilité. La mienne au demeurant n’est que peu scientifique. C’est pourquoi je m’applique à suivre les traces de ces travaux scientifiques afin de les clarifier, pour moi, pour vous, de transmettre ces informations avec la plus grande exactitude et surtout de mettre ces informations à la disposition du plus grand nombre.
Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement
Nicolas Boileau (1636 – 1711)
Voici quelques unes des références scientifiques connues sur la géobiologie à notre époque moderne.
James Hutton (1726 – 1797), géologue, naturaliste, chimiste, médecin et agriculteur. Originaire d’Ecosse et père fondateur de la géologie moderne, on lui doit d’avoir poser les bases de la géobiologie en publiant en 1794 dans son Enquête sur les principes de la connaissance et du progrès de la raison, du sens à la science et à la philosophie sur l’intérêt pour le vivant d’évoluer dans un milieu biocompatible. Il note que l’homme est capable de modifier son environnement mais que ces dernières peuvent avoir des conséquences plus ou moins néfastes sur le vivant.
On note également vers la même époque l’apparition du mot biologie qui commence à être utilisé en 1797 par le physiologiste anatomiste allemand Theodor Georg August Roose (1771 – 1803). Puis il est employé simultanément par le naturaliste allemand Gottfried Reinhold Treviranus (1776 – 1837) dans Biologie ou philosophie de la nature vivante et par le naturaliste Français Jean-Baptiste de Lamarck (1744 – 1829) qui emploie lui aussi ce mot dans son livre Recherches sur l’organisme des corps vivants paru en 1802.
Tito Vignoli (1829-1914). Professeur d’Anthropologie à l’Académie Royale des Arts et des Sciences, psychologue et philosophe, il dirigea notamment le Musée d’histoire naturelle de Milan (1893 – 1911). Il est l’auteur de nombreux articles reconnus au-delà des frontières italiennes notamment Notes sur un traité de géobiologie dans la revue Journal des sciences biologiques (1899), qui fait de lui le tout premier géobiologiste. Il publie Della legge fondamentale dell’intelligenza nel regno animale. Saggio di psicologia comparata (1877) et Mito e scienza (1879) dans lequel il écrit à propos de la capacité des être vivants à s’adapter à leur milieu ambiant :
Più che uno studio etnologico-mitologico, Mito e scienza rappresentava un’indagine psicologico-gnoseologica della costitutiva forma mitica del conoscere che l’uomo ha ereditato dall’animale per fronteggiare l’ambiente in cui vive.
Plus qu’une étude ethnologico-mythologique, Mito e scienza représentait une investigation psycho-gnoséologique de la forme mythique constitutive de la connaissance que l’homme a héritée de l’animal pour faire face à l’environnement dans lequel il vit.
Elena Canadelli, Atti Soc. it. Sci. nat. Museo civ. Stor. nat. Milano, 147 (II): 239-266, Giugno 2006, Extrait de Tito Vignoli ed Ernst Haeckel, Dal carteggio di un direttore dimenticato
C’est ainsi que le mot géobiologie fit son entrée dans le Nouveau Larousse Illustré, Dictionnaire Universel Encyclopédique – Volume supplémentaire de 1907 :
Pierre Teilhard de Chardin (1881 – 1955), chercheur, théologien, paléontologue et philosophe français emploie le mot géobiologie en 1940 soit 41 ans après Tito Vignoli. Il se trouve alors en Chine, il est co-fondateur de l’Institut de Géo-Biologie dont le but est d’établir une histoire naturelle d’Asie et il mène des travaux de paléontologie et géologie en relation avec la biologie. Tout naturellement, le mot géobiologie lui permet de contenir en seul mot, tout son travail réparti dans ces diverses disciplines.
Pierre Teilhard de Chardin est reconnu comme le premier géobiologiste français et contribue à établir les fondements de la Géobiologie.
Andrée Tetry (1907 – 1992) publie dans la Revue scientifique à Paris sur les travaux de Teilhard de Chardin. Un article publié en 1946 décrit “le lien observé entre différentes formes de vie cellulaires et le lieu sur lequel elles évoluent”.
Le Dr Gimzewski (université de Californie, à Los Angeles) a réussi à déceler et amplifier le son des cellules vivantes. Il a donc confirmé, en 2004, ce que bon nombre de scientifiques avant lui avaient pressenti à savoir que la cellule vivante est un corps oscillant qui émet des vibrations.
Mais son expérience est allée plus loin. La fréquence des cellules vivantes varie entre 933 Hz et 1 773 Hz.
On en revient au principe de la bioénergie : tout organe, toute fonction naturelle, toute zone du corps qui perd sa cohérence vibratoire peut créer une pathologie. Rétablir cette cohérence, c’est restaurer l’organe, la fonction ou la zone du corps dans ses aptitudes maximales.
Fritz-Albert Popp, chercheur allemand en biophysique, doctorat en physique théorique, professeur à l’Université de Marbourg (Allemagne), il fait partie des invités de l’Académie des sciences de New York et des invités étrangers de l’Académie russe des Sciences naturelles (RANS). Il a travaillé à l’Université de Princeton. Il est le fondateur de l’Institut International de Biophysique à Neuss, en Allemagne. Il a confirmait l’existence des biophotons. Le biophoton est un photon d’origine biologique n’étant pas issu de produits d’une réaction enzymatique spécifique.
Gustav Benjamin Stromberg est docteur en astronomie. Il est l’un des étrangers dont l’Amérique reconnait sa contribution exceptionnelle à la civilisation américaine : son nom figure sur le « Wall of Fame ». Il découvre et prouve l’existence d’un champ électromagnétique vivant autour des cellules.
Le Docteur Harold Saxton Burr a effectué avant la guerre 40-45 des recherches avec des biologistes et des chercheurs pluridisciplinaires de hautes écoles américaines, sur les courants électriques parcourant les êtres vivants hautement organisés, et a montré que ces courants pouvaient être mesurés avec des voltmètres sensibles à quelques centimètres de distance de la peau, qu’il a appelé les “champs vivants“ ou “L fields“.
Le Dr. Laskow est professeur à l’American College d’Obstétrique et de Gynécologie et ancien chef du service d’Obstétrique et de Gynécologie à l’hôpital public de la péninsule de Monterey à Carmel, Californie.
Des recherches, fondées sur mille sept cents expériences environ, ont démontré que l’ADN des cellules vivantes peut communiquer avec celui des cellules voisines par la transmission d’énergie sous forme de lumière. Ces résultats indiquent que les cellules peuvent communiquer entre elles indépendamment des réactions bio-chimiques et de systèmes organiques tels que le système circulatoire, le système nerveux ou le système immunitaire.
Dr Laskow
Propos tirés du site de Vincent Gassies – https://www.gassies-acmos.fr/bienvenue/
« L’exposition à une zone active est responsable de 60 % des maladies et de 80 % des cas de cancer, d’où l’intérêt de se préoccuper de ces influences » disait au début des années 1950 le chimiste Hartmann, qui a laissé son nom au célèbre réseau détectant la présence de nickel dans le sol.
Ernst Hartmann (1915 – 1992) qui donna son nom au célèbre réseau détectant la présence de nickel dans le sol.
À la même époque, le Dr Peyré prêtait son nom à celui mesurant le cuivre et le Dr Curry, météorologiste, à celui du fer. Quelques années plus tard, une étude du Dr Picard à Moulins- sur-Allier, ville où le taux de cancer était deux fois supérieur à celui de la moyenne nationale, a permis d’établir un lien entre habitat et maladie.
Alain de Luzan, géobiologue depuis trente ans et président fondateur de l’École française de géobiologie, fait le point : « Les êtres vivants sont animés d’une énergie électrique, comme en attestent les électroencéphalogrammes ou les électrocardiogrammes. Les échanges intracellulaires et extracellulaires obéissent également à des variations de potentiel électrique orchestrées par les mitochondries. Il en découle que des champs électriques externes à l’organisme peuvent interférer et perturber gravement le métabolisme des êtres vivants, par induction. »
Le médecin grec Hippocrate évoquait déjà lui aussi la géobiologie comme un facteur essentiel pour la santé, les anomalies présentes dans le sous-sol pouvant agir sur les habitants des lieux, humains ou animaux.
De nos jours, le Dr Luc Bodin déplore pour sa part que la salubrité du lieu de vie et la pollution extérieure et intérieure de l’habitation soient négligées par la médecine traditionnelle. Certaines zones spécifiques d’une pièce se révèleraient particulièrement perturbatrices pour l’organisme lorsqu’on y demeure trop longtemps. C’est pourquoi il est important de bien choisir l’emplacement de son lit, tout comme celui de son bureau ou de son canapé.
Un lieu correspond à ce que nous sommes
Cette femme souffre de douleurs de dos, chaque nuit. Consultations médicales et thérapies variées ne permettent pas d’y remédier. Pas même le changement de la literie. Je détecte alors un croisement de réseau Curry et de deux cours d’eau en plein milieu du dos de cette dame. Une fois la correction effectuée, elle n’a plus ressenti de douleur.
Thierry Vuagnoux, géobiologue suisse qui intervient autant pour des particuliers que pour des entreprises.
Aussi, face à un nombre anormal d’arrêts maladie ou à une baisse significative de la productivité, certaines sociétés n’hésitent plus à faire appel, ouvertement ou pas, à un géobiologue pour réharmoniser les lieux de travail.
Interaction nécessaire
Pourtant, le phénomène n’est pas nouveau.
Il n’y a pas une construction romaine, grecque, égyptienne ou celtique qui ne tienne compte du sous-sol. Même les menhirs sont situés à des endroits précis, sur des croisements de cours d’eau et de failles. Le taux vibratoire d’une église romane ou d’un temple grec va doper toutes les cellules du corps. Dix minutes à l’intérieur peuvent suffire pour faire disparaître la fatigue ! L’être humain est hypersensible aux champs magnétiques, et sur des ruines de 2 000 ans, on trouve encore des énergies impressionnantes ! ».
Thierry Vuagnoux, Géobiologue
Concernant les églises, Philippe Andreoli, géobiologue et maître d’oeuvre, précise qu’il ne faut pas y rester trop longtemps, le corps n’étant pas apte à supporter une énergie si puissante. Aucune civilisation ne l’ignorait autrefois et aujourd’hui nous corrélons notre interdépendance aux lois de la nature et à notre environnement. Aussi on peut s’interroger sur l’importance accordée aux caractéristiques énergétiques des lieux. Situé entre ciel et terre, l’être humain semble avoir oublié cette interaction entre énergies cosmiques et telluriques.
La géobiologie s’apprécie en fonction de la personne… Un lieu correspond à ce que nous sommes. Il n’y en a pas de bon ou de mauvais. Par affinité vibratoire, on va se poser sur un lieu qui correspond à notre état du moment. C’est ainsi qu’un plan de route s’établit au fil des déménagements successifs… Ce lieu nous délivre un message qu’il nous appartient de décoder. Cette résonance entre ce que nous sommes intérieurement et ce que le lieu nous apporte va nous permettre de trouver notre verticalité.
Philippe Andreoli, Géobiologue
La géobiologie passe par la compréhension du fonctionnement énergétique de l’occupant associée à celle du lieu. En plus de bien cerner les individus, le praticien doit être capable d’étudier les sources d’eau souterraines, les failles, les points de croisement de réseaux de métaux, l’exposition au vent, à la pluie, le positionnement par rapport au soleil et à la lune… Autant dire que les paramètres à maîtriser sont nombreux et requièrent de multiples compétences.
La pollution des ondes
Aux problèmes dits « naturels » se rajoutent les pollutions de notre monde moderne : lignes à haute tension, phénomène hertzien, wi-fi, transformateurs, éoliennes… Parmi les effets biologiques des champs électriques et magnétiques, les médecins citent, entre autres perturbations : une diminution des défenses immunitaires et de la sécrétion de mélatonine, des risques de fausse couche, des troubles de la vue, des maux de tête, des insomnies, etc. Ainsi, Philippe Andreoli conseille, par exemple, d’éviter de positionner un lit entre les faisceaux émis par des prises de courant. L’homme moderne vit en permanence au milieu d’un champ électromagnétique provoqué par le portable, la télévision, le four à micro-ondes, la machine à laver, l’ordinateur, l’ascenseur, le train… À tel point que l’on parle aujourd’hui de syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (Sicem). Sans oublier la radioactivité présente dans l’air. Enfin, les bruits et leurs ultrasons sont une autre source de nuisance à ne pas négliger dans l’étude d’un lieu.
Quand certains ont recours à des appareils de détection de pollution ultra-perfectionnés (champ électrique, pression électromagnétique, radioactivité, humidité, ionisation de l’air, hyperfréquences de téléphonie mobile, résistance de la prise de terre), ils ne travaillent pas moins avec leur sensibilité, à l’instar du sourcier d’antan. C’est le cas de Philippe Andreoli qui se déplace avec une grande quantité de matériel, dont des appareils de mesure calibrés et étalonnés en laboratoire, mais aussi son inséparable pendule ! L’intervention dure entre une demi- journée et une journée, selon la taille du lieu et ses problématiques.
Pour corriger les défauts énergétiques, d’autres géobiologues ont recours à la lithopuncture qui, par le positionnement de pierres, agit sur la Terre comme des aiguilles d’acupuncture.
Une mise en garde contre l’usage et la vente d’objets tels que les pyramides, les oeufs en céramique, les « solides de Platon », les cristaux… En effet, ce n’est pas parce qu’un objet vibre bien qu’il protège des perturbations !
LA POLLUTION DES NÉGATIVITÉS
La mémoire des murs et la pollution psychique engendrée par la négativité de certains individus, voire la présence d’âmes errantes dans les lieux peuvent être sources de problèmes : « Une entité ou un esprit défunt peut se fixer dans les murs d’une maison ou de tout autre lieu (terrain, grotte, forêt) et polluer la vie des personnes qui les investissent » précise le père George, prêtre exorciste de l’Église vieille-catholique romaine.
Il est également possible de se faire « polluer » par l’énergie d’un lieu où il y a eu une souffrance par le passé. Les murs d’une bâtisse, voire un terrain, peuvent être imprégnés d’une mémoire : une bataille, un massacre, un assassinat ou encore la présence d’un malade qui a agonisé pendant des années dans une chambre. Ainsi, quand une maison voit passer de nombreux locataires développant les mêmes maux, tous conseilleront de faire « purifier » les lieux, chacun à sa manière.”
Textes et propos recueillis sur le site de l’INREES – Institut de Recherches sur les Expériences Extraordinaires – https://www.inrees.com/#
Images du photographe Martin Amm
J’espère que ces quelques mots vous accompagneront sur vôtre chemin des possibles.